Un article de lemoniteur.fr

© Makani – Observer les rotations de la machine conçue par la start-up californienne Makani donne l’impression d’être en face d’une éolienne devenue invisible.
Soutenues par le géant d’Internet Google, l’automobiliste Tata ou encore la compagnie aérienne KLM, plusieurs start-up américaines et européennes s’apprêtent à commercialiser des équipements novateurs qui se passent de mâts et de pales pour transformer le vent en électricité.
« Mettez au large ces éoliennes que je ne saurais voir ». Jusqu’à aujourd’hui la seule alternative proposée aux champs d’éoliennes terrestres est l’éolien dit offshore.
Mais demain, l’éolien n’ira plus de paire uniquement avec un mât blanc géant. Plusieurs sociétés sont en passe d’industrialiser de nouveaux équipements qui transformeront les nœuds en watts sans froisser la sensibilité des défenseurs de la virginité de nos paysages.
Faire flotter les éoliennes dans les airs
Outre-Atlantique, deux anciens étudiants du prestigieux Massachusetts Institute of Technologies ont imaginé envoyer des micro-éoliennes classiques à trois pales à trois cents mètres au-dessus de nos têtes, en les logeant au milieu d’un aéronef cylindrique gonflé à l’hélium.
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