Un article de Valéry Laramée de Tannenberg paru sur http://www.journaldelenvironnement.net
Outre la mise en place d’une ambitieuse politique d’atténuation, la mégapole américaine se prépare activement à la montée du niveau de la mer.
La capitale économique américaine est l’une des premières métropoles planétaires à mettre en œuvre une stratégie climatique globale. Sous la dernière mandature du charismatique Michael Bloomberg, la Grosse pomme s’est doté d’un plan de réduction de ses émissions de gaz à effet de serre: réduction d’un tiers de ses rejets de CO2. Ambitieux, si l’on garde en tête que la première ville des Etats-Unis prévoit d’accueillir un million d’habitants supplémentaires d’ici à 2030.
Pour atteindre son but, New York entend réduire le facteur carbone de l’électricité qu’elle consomme (actuellement 306 grammes de CO2 au kilowattheure, comme en Europe), construire 314.000 logements consommant peu d’énergie à proximité des réseaux de transports publics, planter un million d’arbres et accroître la valorisation des déchets.
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[…] Source: villedurable.org […]